Soprano
Rocío Pérez
Represented by
Representation
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Representation
Fabrizio Maria Carminati, Conductor
Renato Bonajuto, Stage Director
Fabrizio Maria Carminati, Conductor
Renato Bonajuto, Stage Director
Fabrizio Maria Carminati, Conductor
Renato Bonajuto, Stage Director
In the 2025/2026 season, Rocío Pérez will continue to expand her repertoire with several new productions. She will sing Lucia Lucia di Lammermoor at the Teatro Verdi di Sassari, followed by her debut as Tytania A Midsummer Night’s Dream at the Teatro de la Maestranza in Seville. She then returns to Madrid’s Teatro Real as Esmeralda The Bartered Bride, and later appears at the Teatro Cervantes in Málaga as Marie La fille du régiment.
Rocío Pérez’s recent seasons have been marked by an impressive range of operatic roles across major European houses. Her interpretations have included the Queen of the Night Die Zauberflöte at the Semperoper Dresden; Lucia Lucia di Lammermoor and Dinorah Dinorah at the Deutsche Oper Berlin; Nannetta Falstaff and Clorinda in Rossini’s La Cenerentola at the Teatro Real in Madrid; Gilda Rigoletto at the Opéra de Nancy; and Olympia Les contes d’Hoffmann at both the Finnish National Opera and La Fenice in Venice.
She has also appeared as Berenice L’occasione fa il ladro and Mme Herz Der Schauspieldirektor; as Feu, Princesse, and Rossignol L’enfant et les sortilèges at the Opéra de Lyon; and Norina Don Pasquale at the Opéra-Théâtre Metz Métropole. Other notable interpretations include Aristea in Cimarosa’s L’Olympiade at the Theater an der Wien and the Opéra de Versailles with Les Talens Lyriques; Le Rossignol Le Rossignol and Thérèse Les mamelles de Tirésias at the Opéra de Nice; Manon Lescaut Manon Lescaut at the Teatro Regio di Torino; Violetta Valéry La traviata at the Gran Teatro de Córdoba; Adina L’elisir d’amore at the Opéra National de Lorraine; Zerlina Don Giovanni at the Teatro Colón de A Coruña; and Carolina Il matrimonio segreto and Funny La cambiale di matrimonio at Opera National du Rhin.
In addition, she has cultivated a strong presence in the zarzuela repertoire at Madrid’s Teatro de la Zarzuela, performing Francisquita Doña Francisquita, Paula Tres sombreros de copa, and Doña Inés El caballero de Olmedo.
Alongside her stage career, Rocío Pérez has collaborated with internationally acclaimed ensembles such as Les Talens Lyriques and the Orquesta de la Comunidad de Madrid (OCAM), and her artistry has been recognized in prestigious competitions including the Queen Elisabeth Competition, the International Hans Gabor Belvedere Singing Competition, the Wettbewerb Die Meistersinger von Nürnberg, and the Concours International de Chant de Marmande.
Venendo alle voci, la giovane e fresca Manon Lescaut del soprano Rocio Pérez è forse quella più vera, vissuta e coinvolta, potendo contare sulla brillante giovinezza e la convincente interpretazione, muovendosi con disinvoltura e spigliatezza sul palcoscenico (…) pungente, precisa, con quel suono “a punta” e la scioltezza nelle colorature e nelle agilità, disimpegnandosi con facilità tra staccati e picchiettati. Di ottima esecuzione l’aria C’est l’histoire amourese, forse la più nota ed eseguita in passato dalle grandi interpreti di coloratura.
precisa e svettante, che nei primi atti dà vita, con una bella brillantezza e un fraseggio molto curato, al carattere spontaneamente frivolo di Manon, e nel terzo non manca di portare sulla scena una figura estenuata dalla sofferenza e che pur tuttavia non perde delicatezza e grazia
tuvo en la soprano madrileña Rocío Pérez una coloratura perfecta y una línea de canto siempre controlada; brilló en el aria de la carcajada,
La cantante madrileña Rocío Pérez, que se estrenaba en este papel, ha incrementado de color su carácter vocal ligero en el dúo con el tenor José Luis Sola Un dì, felice, en el que la parte más superficial y frívola de su carácter Verdi la describe a través de una serie de arabescos que multiplicó expresivamente en Sempre libera, esplendente cabaletta de cierre del primer acto en la que ella determina su deseo de no entregar su corazón a nadie (…) llegó a su plenitud lírico-dramática en ese otro momento crucial para armar el nudo de la acción(…)
Finalmente, Rocío Pérez completó su actuación en el desgarrador desenlace de la muerte de Violetta haciendo un planteamiento con un sentimiento contenido de su exigente recitato, que confirmaba su vis dramática, que se percibió un poco alterada en la dinámica de sus movimientos escénicos conforme se acercaba el desenlace de la obra en su redentora muerte”
La jeune soprano Rocîo Pérez s'empare du rôle d'Adina avec toutes ses qualités belcantistes. Ancienne élève de l'Opéra Studio de l'Opéra National du Rhin, elle possède le format vocal et le physique idéal. Sa première cavatine « Le beau Tristan » chantée en fond de scène est une merveille. L'émission de sa voix corsée et piquante correspond exactement à la coquette, sûre d'elle, rêveuse, piquante et provocatrice.
justesse et variété scéniques, solidité du suraigu, vélocité et précision de la colorature sont parfaitement assumés.
L’Adina dont elle s’empare ce soir confirme ses éminentes qualités belcantistes. Elle possède le format vocal et physique idéal. Sa première cavatine (« le beau Tristan »), chantée du fond de scène est prometteuse. L’émission, corsée et piquante, correspond idéalement à la coquette sûre d’elle-même, rêveuse, piquante, provocatrice, attendrie, toutes les expressions sont justes. Le tempérament est indéniable, et la virtuosité, toujours au service de la caractérisation. Le feu d’artifice final est un grand moment de bonheur partagé par les artistes, comme par la salle.
De la distribution se distingue particulièrement Iphigénie, interprétée par Rocío Pérez, soprano espagnole à la brillante carrière, qui fait ici ses débuts aux Festwochen où elle a enthousiasmé le public par sa technique sûre et l’intensité expressive d’un rôle exigeant, car l’interprète doit incarner un personnage exprimant la variété de ses sentiments dans toutes les nuances du registre tragique : victime sacrificielle à Aulide, ici, en Tauride, elle devient elle-même le bourreau désigné pour immoler à la déesse Pallas Athéna tous les étrangers qui posent le pied sur le continent. Cette infinie série de victimes pourrait engendrer une interprétation monotone ; c’est au contraire une infinie variété expressive du personnage qui nous est ici dévoilée.
Aucun problème de ce côté-là pour Suzanne Jerosme ou Rocío Pérez, toutes deux marquantes en Pilade et en Iphigénie respectivement. La première fait valoir un joli timbre argenté, et une réelle aptitude aux vocalises à la vitesse supersonique. Non moins virtuose, la seconde possède un timbre rond, frais et charnu, un suraigu puissant et nourri et un art de dire le texte qui lui permet de rendre compte de la complexité des sentiments d’Iphigénie, partagée entre son humanité profonde et son souci de servir les dieux.
La soprano espagnole Rocío Pérez est bouleversante dans le rôle d’Ifigenia dont elle souligne la solitude avec une grande profondeur dramatique et un chant à la ligne mélodique et aux tonalités pures et claires, elle enfile avec souplesse des coloratures virtuoses comme des perles sur un collier.