Stage Director
Jean-Romain Vesperini
"Without being strictly traditional, his scenic proposal is both stylish and refined, filled with beautiful and strong images." - Opera Online
Represented by
"Without being strictly traditional, his scenic proposal is both stylish and refined, filled with beautiful and strong images." - Opera Online
Represented by
Daniel Carlberg, Conductor
Jean-Romain Vesperini, Stage Director
Daniel Carlberg, Conductor
Jean-Romain Vesperini, Stage Director
Daniel Carlberg, Conductor
Jean-Romain Vesperini, Stage Director
Le comte Ory at Opéra de Québec, La Fille du Régiment at Royal Opera of Versailles, Le Nozze di Figaro at Liege Opéra Royal de Wallonie, Der Freischütz at Theater Kiel, Henry VIII at Fisher Center Bard College, Faust at Festival at Opera de Quebec, Gianni Schicchi with Kent Nagano at Festival Napa Valley, Lancelot at Opéra de Saint-Étienne, Don Pasquale at the Napa Valley Festival del Sole and Giovani voci alla Fenice gala at Teatro La Fenice di Venezia.
Boris Godunov at Opéra Grand Avignon and Opéra de Monte-Carlo, Faust at Opéra national de Paris, La Cenerentola at New Generation Festival in Florence, La bohème at the Bolshoi Theatre Moscow, Turandot at the Ural Opera Ekaterinburg, Godard’s Dante at Opéra de Saint-Étienne, Lucia di Lammermoor at Opéra de Limoges, Opéra de Rouen Normandie and Opéra de Reims, Carmen at Opera Hong Kong, along with numerous theatrical productions.
La Cenerentola
Rossini
La Cenerentola
Rossini
Faust
Gounod
Faust
Gounod
Puccini - La Boheme
TIcket to the Bolshoi
Puccini - La Boheme
TIcket to the Bolshoi
La Traviata
Verdi
La Traviata
Verdi
Lucia di Lamermoor
Donizetti
Lucia di Lamermoor
Donizetti
Interview
Interview
As a director, Vesperini doesn’t shy away from the story’s grandeur, and large crowd scenes featuring the exemplary Bard Festival Chorale ... are often stirring. But he most keenly focuses on the interpersonal moments that dot the libretto...
The piece has been treated lovingly at Bard, in a vibrant and restrained staging by Jean-Romain Vesperini
Unlike La Monnaie’s convoluted staging, here an excellent production by Jean-Romain Vesperini presents the action lucidly and engrossingly.
La mise en scène de Jean-Romain Vesperini est d’un parfait esthétisme. Tous les tableaux ont été conçus par la main d’un artiste. La vieille Russie légendaire est restituée sous nos yeux, avec son abondance de costumes, ses visions d’églises à bulbes, ses icônes dorées. Un immense visage de Christ orthodoxe s’étale sur la largeur de la scène, des éclairs sanguinolents zébrent le décor au moment de l’hallucination de Boris. Vesperini a coupé en deux l'espace scénique dans le sens de la hauteur, faisant voir deux scènes superposées. Il signifie ainsi que « le pouvoir (présenté sur la scène supérieure) est basé sur le peuple (présenté sur le plateau inférieur) ».
La mise en scène de Jean-Romain Vesperini est d’un parfait esthétisme. Tous les tableaux ont été conçus par la main d’un artiste. La vieille Russie légendaire est restituée sous nos yeux, avec son abondance de costumes, ses visions d’églises à bulbes, ses icônes dorées. Un immense visage de Christ orthodoxe s’étale sur la largeur de la scène, des éclairs sanguinolents zébrent le décor au moment de l’hallucination de Boris. Vesperini a coupé en deux l'espace scénique dans le sens de la hauteur, faisant voir deux scènes superposées. Il signifie ainsi que « le pouvoir (présenté sur la scène supérieure) est basé sur le peuple (présenté sur le plateau inférieur) »
Se questa versione originale è tornata a solcare i palcoscenici sempre più spesso nel corso degli ultimi anni, con esecuzioni senza intervallo nella successione dei sette quadri che la compongono, eseguiti appunto tutti di fila, un motivo c’è; è ascrivibile alla maggior concentrazione che l’opera assume attorno alla figura del protagonista, tratteggiato con quelle pieghe shakespeariane che il regista del nuovo allestimento monegasco, Jean-Romain Vesperini, persegue nell’illuminare la dimensione emotiva del senso di colpa di Boris per l’infanticidio del vero erede al trono, che lo rende uno zar usurpatore annientato dai rimorsi, attorniato da un popolo che soffre e patisce la fame e da una corte di boiari all’interno della quale si sente solo ed estraneo. Lo è anche dinanzi agli affetti più cari, quelli dei figli Ksenija e Fëdor, che non ha mai vicino a sé.
La mise en scène de Jean-Romain Vesperini est d’un parfait esthétisme. Tous les tableaux ont été conçus par la main d’un artiste. La vieille Russie légendaire est restituée sous nos yeux, avec son abondance de costumes, ses visions d’églises à bulbes, ses icônes dorées. Un immense visage de Christ orthodoxe s’étale sur la largeur de la scène, des éclairs sanguinolents zébrent le décor au moment de l’hallucination de Boris. Vesperini a coupé en deux l'espace scénique dans le sens de la hauteur, faisant voir deux scènes superposées. Il signifie ainsi que « le pouvoir (présenté sur la scène supérieure) est basé sur le peuple (présenté sur le plateau inférieur) »
Wie am Schnürchen schnurrt das Meisterwerk der Komik nach allen Regeln der Komödienkunst ab – als ein wahres Märchen von Oper. Vesperini setzt das Opernmärchen mit einer Direktheit in Szene, die ins freudig lächelnde Auge springt und auf denkbar einfache Weise unmittelbar berührt. Der legendäre Jean-Pierre Ponnelle hat einst auf die Qualität dieses herrlichen Werks auf ähnlich ehrliche Weise vertraut und kam zu entsprechend ähnlichen Ergebnissen.
Das New Generation Festival in Florenz zeigt Rossinis La Cenerentola mit einem Ensemble aus Nachwuchssängern. Künstlerisch ein voller Erfolg.(…) Dem Regieteam ist mit dieser Cenerentola-Produktion, die sicherlich gut für eine Tournee geeignet wäre, eine überzeugende und höchst unterhaltsame Mischung aus Historienmärchen und Pop-Art gelungen. Die grandiose Optik der Videoprojektionen und der prächtigen Kostüme überspielt mit geschickten Choreografien die aufgrund der Corona-Abstandsregeln eher frontal ausgerichtete Personenführung.
Sans le moindre temps mort, le spectacle vif et coloré du metteur en scène français Jean-Romain Vesperini, use à bon escient des images vidéo projtées sur différents supports-écrans, tantôt réalistes pour suggérer lieux et espaces, tantôt oniriques ou cartoonesques
La lecture de Jean-Romain Vesperini se laisse regarder avec intérêt. Rythmée par une direction d’acteurs jamais appuyée, elle est émaillée d’accessoires et de costumes d’inspiration XVIIIe piquants, que soulignent avec malice les jolies lumières de Christophe Chaupin.
La mise en scène de Jean-Romain Vesperini s’attache à suggérer l’itinéraire que les changements de lieux symbolisent, sans le pittoresque superficiel des reconstitutions historiques, mais en faisant appel à l’imagination du spectateur.
La mise en scène de Jean-Romain Vesperini se place elle aussi sous le signe de la dualité, la deuxième facette ayant apparemment bien davantage éveillé son imagination. A Naples,les jeunes admirateurs de Virgile deviennent une sorte de secte, l’apparition des damnés est très réussie, et le dernier acte, dans son relatif dépouillement, est plutôt bien venu.
Mise en scène et direction d’acteurs efficace pour une partition qui regorge de beautés.